Je te travaille un peu, j’éloigne la douleur,
J’effrite mes peines, les miettes collent.
Bords de bouche, portes automatiques,
Mercantile attrait, demande-moi un briquet.
J’allume ma révolution,
Je passe à la prochaine saison.
C’est un sabbat sans fin, le 8e jour d’un demi-festin.
Une psychose heureuse nous tutoie les jours de feu,
Je traîne mon groupe,
Ma peau et les autres,
Le reste est creux.
