De sirènes en chimères, tu l’as voulue
Ma tête pleine de ton fluide, ton corps qui erre.
L’abri n’est pas là, saison mortifère.
Qu’est-ce qui reste ? La prise déconne, c’est foutu.
Tu m’as fait penser, rêver de jeux perdus.
Notre amour et tes griffes noires dans ma chair
Ont eu raison d’un équilibre précaire.
Qu’est-ce que j’y peux ? Jour de plaisir déchu.
Je creuse des mythes et des visages fendus.
Hurlements inutiles, passion éphémère,
C’est mon cycle, une habitude délétère.
Pourquoi choisir l’homme qui est père et tue ?
