Ton absence à mes côtés ne suffit pas à annuler le débordement.
Ça déborde : REGARDE !
Je sens le chemin, encore long.
Entre creux et bosses
Masochistes.
Jusqu’à cette guérison dont je ne veux pas.
Tu comprends.
L’espace est trop étriqué de souvenirs alors je construis un couloir.
C’est vide de sens : REGARDE !
On dirait une salle d’attente
Où personne ne m’attend.
La plante verte aura le temps de mourir.
Moi, j’ai le temps de souffrir.
